Réseaux trophiques marins de l'Arctique
et services écosystémiques
Un réseau trophique marin est formé de toutes les espèces d'une zone donnée et de leurs interactions alimentaires, ou « qui mange qui ». Il sous-tend la production de plusieurs services écosystémiques qui soutiennent le bien-être humain dans les communautés côtières de l'Arctique, mais d'une manière que nous ne comprenons pas encore pleinement. Par exemple, les communautés de la région de Kitikmeot tirent des avantages de la pêche à l'omble chevalier et de la chasse au phoque qui incluent la nourriture et la santé, mais aussi des notions de culture et d'identité.
Comprendre les multiples façons dont les gens profitent du réseau trophique marin de l'Arctique et comment les impacts du changement climatique et d'autres pressions d'origine humaine se répercutent des processus écosystémiques sur le bien-être humain est essentiel pour éclairer l'adaptation et la gestion durable dans l'Arctique.
Un réseau trophique marin est formé de toutes les espèces d'une zone donnée et de leurs interactions alimentaires, ou « qui mange qui ». Il sous-tend la production de plusieurs services écosystémiques qui soutiennent le bien-être humain dans les communautés côtières de l'Arctique, mais d'une manière que nous ne comprenons pas encore pleinement. Par exemple, les communautés de la région de Kitikmeot tirent des avantages de la pêche à l'omble chevalier et de la chasse au phoque qui incluent la nourriture et la santé, mais aussi des notions de culture et d'identité.
Comprendre les multiples façons dont les gens profitent du réseau trophique marin de l'Arctique et comment les impacts du changement climatique et d'autres pressions d'origine humaine se répercutent des processus écosystémiques sur le bien-être humain est essentiel pour éclairer l'adaptation et la gestion durable dans l'Arctique.
My current research investigates how coastal communities in Inuit Nunangat benefit from marine ecosystems, especially from fish and seafood that are critical for food security and health (e.g., see our MARAT project). Furthermore, I am part of the Resilience Alliance, an international network of researchers studying social-ecological systems and their resilience, and of the Resilience Alliance Young Scholars, as part of which I collaborate to different initiatives linked to better understanding ecosystem services and resilience in the Anthropocene.